En action pour une saine consommation

Résumé critique par Éric Thibeault - Histoires de fric, comment éviter les pires erreurs grâce à celles des autres   La journaliste et auteure, Isabelle Ducas, écrit sur les questions d'argent depuis plus de 15 ans. Au cours des quatre années précédant la sortie de son livre Histoires de fric, comment éviter les pires erreurs grâce à celles des autres, elle a tenu la rubrique "Train de vie", dans le journal La Presse, où des gens ordinaires, à différentes étapes de leur vie, lui confiaient leurs questions sur les finances personnelles. Inspirée de cette rubrique, l’auteure y décrit une quarantaine de situations où des personnes s’interrogent sur la gestion de leurs portefeuilles. Histoires de fric raconte leurs histoires en tentant, avec l’apport d’experts financiers, de leur proposer des solutions personnalisées, afin de les aider à retrouver l’équilibre de leurs budgets. Comme on pouvait s’y attendre, des sujets tels l’endettement, l'immobilier,

Par Hélène Thériault, consultante budgétaire La réalité des Québécois sur l'aide sociale... Quoi qu'on en dise, même si tu as travaillé une grande partie de ta vie, il pourrait arriver que l'aide sociale soit ta seule et dernière option... En cas de séparation ou de perte d'emploi par exemple, si le budget est planifié en fonction des revenus des deux conjoints, y'a de fortes chances que les revenus deviennent rapidement insuffisants pour combler le déficit! Même chose si tu tombes malade. Le chômage maladie est bien vite écoulé. T'sé, c'est pas tout le monde qui bé néficie d'une assurance invalidité! Sur ce, ne juge pas trop vite! http://impactcampus.ca/non-classe/la-realite-des-quebecois-sous-laide-sociale-josee-ferland-1-3/?fbclid=IwAR3BttLms4P94AImyWxNTxREId2_zlJl2etICnTPRkfpigeAK89na936-KA Vous pouvez aller voir cet article sur notre site Facebook

La méthode Konmari ou épurez votre esprit! En fouillant sur Pinterest, je suis tombée sur cet article qui m’a beaucoup intéressée. Il s’agit d’une introduction sur cette méthode japonaise de désencombrement.   Mes lectures sur le sujet m’ont menées à la conclusion qu’il s’agit d’un mode de vie. Le premier conseil et le plus important, pour que la méthode perdure, est de se questionner sur le type d’environnement dans lequel nous voulons vivre. Une fois cet élément déterminé tout le reste est beaucoup plus facile. Ce qui me plait particulièrement est l’aspect que les objets que nous conservons doivent avoir une connotation positive pour nous. Donc, je vous souhaite un bon désencombrement et un bon maintien de ces habitudes pour éviter la surconsommation. Je vous invite à donner vos surplus à l’Éco-fripes Roussel où ils pourront faire le bonheur de d’autres individus, tout en contribuant au maintien des services du Service budgétaire et communautaire de Chicoutimi. Ju

Ce texte amène une réflexion et surtout nous permet de nous informer sur un aspect négligé et non négligeable sur l'environnement. On vous attend donc à l'Éco-Fripes Roussel ! Isabelle Dion, responsable de l'Éco-Fripes Roussel La mode et la durabilité CHRONIQUE / Se vêtir fait partie des besoins humains fondamentaux. Bien paraître, attirer les regards, s’afficher comme membre d’un groupe, d’une classe d’âge ou encore se distinguer de la masse réfèrent quant à eux au besoin d’estime de soi. Ce sont des besoins qui peuvent être rationalisés. Mais la petite dose de sérotonine qui accompagne l’acte de consommer satisfait un besoin qui relève du cerveau reptilien et cela est beaucoup plus dur à contrôler. A vec ces trois niveaux de satisfaction, il n’est pas étonnant que l’industrie mondiale de la mode soit l’une des activités économiques les plus importantes et qu’elle ait un avenir prospère à mesure que les effectifs humains s’accroissent et s’enrichissent. Mais

cet article m'amène à promouvoir les ateliers de cuisine collective. une bonne façon d'optimiser nos achats, de découvrir de nouvelles recettes et d'économiser. - isabelle dion, responsable de l'éco-fripes, service budgétaire et communautaire de chicoutimi OPINION SYLVAIN CHARLEBOIS NOTRE PANIER D’ÉPICERIE EN 2020 De mauvaises nouvelles attendent les familles canadiennes. SYLVAIN CHARLEBOIS DIRECTEUR SCIENTIFIQUE, LABORATOIRE DE SCIENCES ANALYTIQUES EN AGROALIMENTAIRE, UNIVERSITÉ DALHOUSIE Durant les Fêtes, les gens aiment se gâter, et pourquoi pas. La plupart d’entre nous mangeront toutes sortes de choses, et parfois un peu trop. Durant cette période de festivités, le coût des aliments devient un élément secondaire. Mais tôt ou tard, la réalité des dépenses nous rattrape. Le rapport annuel sur le prix des aliments présenté par les Universités Dalhousie et de Guelph nous a révélé de mauvaises nouvelles au début décembre. Chaque fa

PAS FACILE DE SE RETROUVER FACE À AUTANT DE CARTES PROPOSÉES !! BONNE IDÉE DE NE CONSERVER QUE CELLES LES PLUS UTILISÉES. BONNE RÉCOLTE DE POINTS ! iSABELLE dION FINANCES PERSONNELLES COMMENT EXPLOITER SES CARTES DE FIDÉLITÉ Vous ne trimballez plus d’argent comptant, mais votre portefeuille déborde de cartes de fidélité ? Comment faire pour exploiter tous ces programmes sans se faire soi-même exploiter ? CAA-Québec s’est penché sur la question. ISABELLE DUBÉ LA PRESSE Faites le ménage et restez fidèle Un sondage signé R3 Marketing et Léger révèle que les Canadiens possèdent en moyenne 9,8 cartes de fidélité, mais n’en utilisent en réalité que 6,6. CAA-Québec suggère donc de faire le ménage dans ses cartes et de ne conserver que celles associées à nos habitudes de consommation les plus fréquentes. Pensez à la carte d’épicerie, de pharmacie, de station-service ou de café. La fidélité rapporte plus. Si vous faites les courses chez le même épicier, achetez votre